En réponse à l’article :
Conférence du Père François Varillon sur le problème du mal, suite (2/5)
L’idée même d’une fonction du mal est inacceptable - une conscience qui refuse le mal est supérieure à un Dieu qui le tolère - Le chrétien doit se placer du point de vue de la personne - Des argumentations qui sont elles-mêmes un mal - La souffrance est-elle une sonnette d’alarme ? -